[Réflexion] Et si la vraie question, c’était l’égalité. Une Valeur de la république ?

J’ai, comme tout le monde ou presque, reçu une éducation et même si elle n’était sans doute pas adaptée, j’ai quand même appris quelque chose : les valeurs de notre république.

Ces valeurs sont au nombre de trois et ornent la majorité des signes de l’État français, des courriers officiels à certaines pièces de monnaie.

La France, pays qui a initié les droits de l’homme, aurait-il oublié ces valeurs ? C’est la question que je me pose.

Tout d’abord, il y a la Liberté. Le « L » est important, tellement important que je consacrerai un billet à cette Liberté qui fond comme neige au soleil.

Pour finir, il y a la fraternité. Cette valeur est sans doute une erreur de parcours, lorsqu’on voit comment les personnes présentes sur le sol français sont parfois traitées. Une personne de 94 ans se fait expulser, une enfant de 5 ans se fait arrêter, on expulse au lieu d’aider. Il me semble même qu’on expulse même plus que sous Sarkozy, voyez comme notre gouvernement de « gauche » travaille bien.

Ah, puis entre ces deux valeurs, il y a l’égalité. L’égalité de tous, partout, l’égalité face à la justice, l’égalité dans les droits et les devoirs, toutes ces choses qui semblent ne plus vraiment exister dans notre si « beau-mais-plus-trop-quand-même » pays.

La déclaration universelle des droits de l’Homme de du citoyen le dit : « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. »

Observons les faits : pour des délits mineurs, certains sont arrêtés et traînés en justice, pour des délits plus graves, certains sont intouchables ou ça devient un casse tête impossible à résoudre.

Un président est couvert, un ministre avec un compte étrange est défendu malgré l’ouverture d’une enquête préliminaire. Un autre insulte une personne et rien ne lui arrive, un dernier tient des propos choquants, dignes d’un farouche partisan de l’extrême droite et il ne lui arrive rien non plus, ou presque rien.

On représente souvent la justice comme une personne avec la glaive de la justice et les yeux bandés, sous entendant qu’elle est juste et objective, qu’elle frappe tout le monde de la même façon.

La justice doit donc se retourner dans sa tombe…

L’égalité, c’est aussi les mêmes droits pour tous, y compris le droit de se marier avec la personne que l’on aime.

Si l’égalité est un droit, nous avons pour devoir, nous citoyens, de la protéger. Nous ne le faisons pas en ce moment, certains préférant creuser les écarts et les tensions entre deux parties.

De tout temps, des Hommes ont fait en sorte que cette égalité puisse être appliquée, parfois en sacrifiant leur vies.

Certains se sont battus pour avoir le droit de s’asseoir à la même place que n’importe qui d’autre, pour avoir les mêmes droits que chaque personne. D’autres ont lutté pour que les femmes puissent avoir les mêmes droits que les hommes, comme le droit de vote. D’autres encore se battent pour avoir de l’eau et certains juste pour vivre et pas survivre.

Et, pour finir, certains se battent pour avoir le choix. Celui de pouvoir se marier comme tout le monde, de pouvoir vivre leur amour pleinement, de pouvoir être reconnus comme mariés au yeux du gouvernement et du pays dans lequel ils se situent.

Les manifestations des personnes opposées au mariage pour tous sont une démonstration d’un refus d’égalité de chacun.

Il est important que ces manifestations puissent exister, c’est une expression de la liberté d’opinion et donc, d’une forme de Liberté.

Je ne suis pas d’accord avec vous mais s’il le faut, je me battrai pour que vous puissiez le dire, dans la limite des propos non condamnés par la justice.

Revenons-en à nos moutons en essayant de voir plus loin. Nous sommes dans une demande de droit comme il en a toujours existé. Nous sommes dans une volonté de faire que l’égalité ne soit pas qu’un simple mot ou une valeur sur un symbole. Nous sommes dans l’exercice de la République française, partant du principe qu’elle est garante de l’égalité.

Les manifestations sont une démonstration d’une attaque de la légalité, sur des arguments fallacieux qui plus est :

  • les homosexuels sont pédophiles : cet argument est dénué de sens, les quelques études qui cherchent à prouver ceci sont orchestrées par des comités contre le mariage pour tous, des comités religieux ou des personnes réputées comme homophobes.
  • Les enfants doivent être protégés : j’ai presque envie de répondre « what the fuck ». Cet argument est de la plus profonde bassesse qu’il soit. Se servir des enfants pour justifier un refus, c’est dire à demi mots que les enfants ne sont qu’un prétexte et donc, c’est mépriser totalement le droit des enfants.
  • Les Maladies Sexuellement Transmissibles existent plus chez les homos : non. Si c’était peut être le cas dans les années 60, c’est maintenant loin, très loin de la réalité. Ces personnes sont souvent beaucoup plus sensibilisées que des hétéros sur les MST et sur les moyens de s’en prémunir. Parce que c’est un milieu montré du doigt, ces personnes font attention et, de façon générale, nos générations comprennent que la capote, ce n’est pas un ballon pour faire des bombes à eau.

Croyez-vous que les hétéros soient des exemples ? Non. Des parents hétéros enferment leur enfants dans une maison pendant des années, d’autres tuent toute leur famille, d’autres violent leurs enfants …

Mais parce que les hétéros sont la norme acceptée dans les codes de votre société, ces choses sont moins graves.

Il suffit de voir la réaction des gens face à la pédophilie par exemple, certains sont plus choqués que ça soit un homo qu’un hétéro qui soit reconnu coupable. Qu’est-ce que cela signifie ? Qu’un acte pédophile est moins grave si c’est un hétéro ? J’espère me tromper, mais je crois que l’inconscient de ces personnes là parle à leur place.

Pour résumer : ce que demandent ces personnes, c’est quelque chose que l’Etat devrait garantir: l’égalité. L’égalité pour tous, autre chose qu’un simple mot, mais des actes.

Cher François…

Bonjour à tous,

En cette période électorale ou la totalité des politiques se sont transformés en prêcheurs, laissant leur grand discours pour de belles paroles, annonçant la fin de la crise et de tout les maux du monde s’ils deviennent président(e) et essayant de violer votre mémoire politique en 3 grandes phrases, il en est un qui à particulièrement attiré mon attention : Mr François Hollande.

(oui, ce billet respire un poil l’énervement, et aussi la déception)

Si vous suivez mon blog, vous avez alors entendu parler de l’affaire « Botzaris », à défaut, je vous invite à lire ce billet : J’accuse. #Botzaris36 qui vous en apprendra d’avantage.

La situation n’est toujours pas arrangée, bien au contraire, plus le temps passe, plus les choses sont compliquées et plus les tunisiens sont abandonnés par tout…oh Wait!, par presque tout le monde.

A force de « crier » sur la toile, des petits messages sur Botzaris sont arrivés sur l’écran de Mr Hollande, qui s’est fendu de deux réponses sur le dossier :

La première, le 20 juillet, sur Twitter.

La seconde, le 29 juillet, sur son blog : La démocratie, le meilleur rempart qui soit contre tous les extrémismes.

Comme vous pouvez le constater, Mr Hollande s’est engagé à se déplacer à Botzaris, pour constater de lui même la situation…et nous attendons toujours.

Puisque j’ai la capacité de m’exprimer sur la toile, je me fends moi aussi d’une réponse, mais pour Mr Hollande:

Mr Hollande,

Nous avons tous observé votre tweet sur Botzaris, au delà de 140 caractères, un message fort y figurait : « Je m’y engage. »

Je ne peux que constater votre absence et commence à sincèrement douter de votre engagement. Nous sommes beaucoup à ne plus boire les belles paroles de nos politiques, en ne tenant pas cet engagement, vous vous classeriez dans la même catégorie que tout les autres : de beaux parleurs, sans actions derrière.

Je ne vous demande pas de vous déplacer illico presto sur les lieux mais par exemple d’annoncer une date de passage dans un premier temps, ce qui serait un signe fort pour beaucoup de gens qui espèrent que vous tiendrez cet engagement.

Vous et moi avons manifestement une notion relativement différente des « prochains jours » : si vous comptez passer dans un an, permettez moi de vous dire que cela sera un poil trop tard.

En vous déplaçant, vous prouveriez qu’un homme politique, qui plus est présidentiable, peut tenir ses promesses et s’inquiéter du sort de personnes dans le besoin, qu’elles soient françaises ou non,  (la tendance actuelle n’est pas celle la).

Vous vous êtes engagé à vous déplacer, vous vous êtes engagé à rencontrer, sur le terrain, des gens qui travaillent dans une optique commune : la solidarité.

Vous avez beaucoup à gagner de vous déplacer à Botzaris et de tenir vos engagements…vous avez selon moi tout autant à perdre si vous ne les tenez pas. La confiance est une chose qui ne se récupère pas, Monsieur (et croyez moi, la perdre, c’est douloureux).

Démarquez-vous, tenez vos engagements, montrez qu’au moins un homme politique les à tenu.

Cordialement, J.M aka Numendil – Pixellibre.net

 

Rendez vous dans un an.

Bonsoir à tous. Permettez-moi tout d’abord de vous présenter mes excuses pour cette interruption dans votre vie quotidienne. J’aime, comme beaucoup d’entre vous, le confort du train-train quotidien, le sentiment de sécurité et la tranquillité que procure ce qui est familier et répétitif. Je les apprécie, comme tout à chacun.

Mais dans cet esprit de commémoration qui prévoit que les évènements importants du passé, habituellement associés à la mort d’un individu, ou à la fin de quelque horrible bataille sanguinaire, soit célébré par de sympathiques congés, j’ai pensé que nous pourrions célébrer cette fête nationale, jour hélas de plus en plus oublié, en consacrant un court instant de notre vie quotidienne à nous asseoir et à bavarder un peu.

Il existe bien sûr des personnes qui ne veulent pas que nous parlions. Je soupçonne qu’en ce moment même, des ordres sont aboyés dans les couloirs de nos institutions pour définitivement nous faire taire. Pourquoi ? Parce que même si l’on peut substituer la matraque à la conversation, les mots conserveront toujours leur pouvoir. Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est-ce pas ?

Cruauté et injustice. Intolérance et oppression. Et là où, auparavant, vous aviez la liberté de faire des objections, de parler comme bon vous semblait, vous avez maintenant des censeurs, des systèmes de surveillance vous contraignants à la conformité et sollicitant votre docilité.
Comment est-ce arrivé ? Qui est à blâmer ? Bien sûr, il y a ceux qui sont plus responsables que les autres et qui devront en rendre compte mais… Encore dans un souci de vérité, si vous cherchez un coupable, regardez simplement dans un miroir.

Je sais pourquoi vous l’avez fait. Je sais que vous aviez peur. Qui pourrait se vanter du contraire ! Guerre, terreur, maladie. Une myriade de problèmes a contribué à perturber votre jugement et à vous priver de votre bon sens. La peur a pris ce qu’il y a de meilleur en vous. Et dans votre panique vous vous êtes tourné vers la personne actuellement à la tête de l’État français

Il vous a promis de l’ordre, il vous a promis de la paix. Tout ce qu’il a demandé en échange, c’est votre consentement silencieux et docile… et vous lui avez donné. ces dernières années, nous avons cherché à mettre fin à ce silence ! Ces dernières années, nous avons essayé de rendre la mémoire à ce pays.

Il y a de cela des siècles, des citoyens ont voulu ancrer à jamais le 14 Juillet dans nos mémoires. Ils espéraient rappeler au monde qu’impartialité, justice et liberté sont plus que des mots, ce sont des principes. Alors si vous n’avez rien vu, si vous ignorez toujours les crimes de ce gouvernement, je vous suggère de ne pas commémorer le 14 Juillet.

Mais si vous voyez ce que je vois, si vous ressentez ce que je ressens, si vous désirez ce que je désire, alors rangez-vous à nos côtés dans un an à compter d’aujourd’hui devant les grilles du palais de l’Élysée, et ensemble, nous leurs offrirons un 14 Juillet gravé à jamais dans les mémoires !

A storm is coming…sortez vos agendas, rangez vos tranches de lol et rangez vos trolls velus: cette idée est la plus sérieuse (et la plus farfelue) que j’ai eu depuis des années.

Ignorée, oubliée, laissée pour compte…nous avons oubliés que la Démocratie était le pouvoir du peuple, il est maintenant tant d’agir.

L’idée est folle, j’en conviens…mais (et loin de moi la prétention de l’être) entre la folie et le génie…la frontière est parfois légère.

Impératif :

Le but : nous ne venons pas pour nous en tant que personne mais en tant que citoyens, nous venons en tant que volonté de changer les choses : une volonté n’a pas de visage.

Second point : le fait d’avoir son visage masqué est interdit…toute loi dans ce style repose sur une notion de relativité.

Rendez vous pris, on se retrouve dans un an.

Ne bougez pas…

Ce soir, pas de sujet d’actualité en particulier mais plutôt un constat, enroulé dans un petit coup de gueule.

Vous pouvez déjà classer ce billet dans la catégorie « je vais dire quelques vérités qui ne vont pas vous plaire« .

La Hadopi est passé, de plus en plus de gens s’en plaignent, de plus en plus de gens trouvent cette loi absurde, stupide, dangereuse.

La Loppsi connait le même sort et est autant critiquée maintenant.

La nouvelle carte d’identité numérique commence déjà à connaitre le même sort et les réactions sur la toile et dans la vie réelle me font penser qu’elle va s’en prendre plein la tête.

Autre chose me choque : que la loi HADOPI ait été rejeté, puis revotée, le tout dans la plus grande indifférence…que, sur la Loppsi, si peu de monde se soit indigné…que sur la carte d’identité, ce soit 6 personnes qui aient décidé du sort de 45 millions de personnes.

Par dessus tout, il y a une chose qui me laisse perplexe : l’inaction. Celle de qui? celle du peuple.

L’inaction, c’est pour moi le mal qui nous ronge tous:

– on critique, on se plaint…mais concrètement c’est souvent après coup, lorsqu’il est trop tard, lorsque l’ont doit subir plutôt que d’anticiper.
– on fustige une loi, sans s’être renseigné avant et sans avoir essayé de faire quelque chose.
– on laisse nos politiques décider de tout, même si tout ceci n’est pas / plus représentatif de l’opinion du peuple

Pourquoi?

Par manque d’information, par manque de temps, par manque de motivation ou tout simplement parce qu’on s’en moque complètement, les raisons sont aussi nombreuses que variées.

Cependant, il existe des solutions pour répondre à quelques problèmes :

– pour le manque d’information, si vous restez sur les médias traditionnels, l’information que vous aurez ne sera, au mieux, pas complète, dans le pire des cas, elle sera fausse. Renseignez vous de vous même, allez lire les projets de l’assemblée nationale, vous pourriez être surpris de tout ce qu’il se passe.

– pour le manque de temps, des sites reprennent l’ensemble des informations que vous ne voyez pas dans les médias.

– pour le manque de motivation : afin d’éviter toute prise de tête, moi aussi j’ai mes galères, mes soucis, mon compte a zéro en fin de mois, des soucis pour le travail, le logement, … simplement je crois avoir compris une chose : ce n’est pas en tant qu’individu que ces problèmes se règleront. C’est en tant que conscience collective qu’il faut agir.

– on s’en moque, mais on critique après coup : je serais sans pitié ici, vous vous en moquiez, vous subissez les retombée de ce dont vous vous moquiez, vous l’avez cherché.

Nous sommes à un moment de notre existence ou Internet nous permet de passer de l’autre côté de l’écran : devenir acteur de la démocratie plutôt que de rester spectateur et subir cette dernière, saisissez cette chance.

Je ne le dirais jamais assez, mais si tout ce qui se passe arrive, c’est peut être parce que nous, français, nous l’avons cherché : qui regarde ce que font nos politiques? qui regarde les lois qui sont votées? Franchement? … peu de monde. Nos politiques le savent et s’en donnent à cœur joie jusqu’au prochaines élections ou il faudra faire semblant d’écouter le peuple. Le pire dans ces cas la, c’est la mémoire politique du peuple : « x » est un con le lundi, c’est notre sauveur le mardi…

Je n’entendrais pas l’argument : « que faire, c’est ainsi fait, ils font ce qu’ils veulent, toutes façons d’accord ou pas, ca change rien ». Je ne l’entendrais pas parce que réagir ainsi, c’est consentir à laisser les gens faire ce qu’ils veulent, c’est se dire que toutes façons, la démocratie est ainsi faite…comprenez par là : qui ne dit mot consent.

Vous avez le choix de ne rien changer.

Vous avez aussi le choix de vous organiser, de réagir, réfléchir ensemble sur « que faire », « comment faire ». Vous pouvez vous renseigner et aller plus loin que ce que l’on vous offre dans les médias traditionnels.

Oui, c’est fatiguant. Oui, il faut produire l’effort. Oui, c’est un travail de fond et sur la durée…mais vous seriez étonné de tout ce que l’on ne vous dit pas. Ce n’est qu’ensemble que les choses pourront avancer, individuellement, nous sommes tous…de simple citoyens dans la moins pire des configurations : la démocratie.

… A nous de faire en sorte de changer cela.

 

Souvenirs d’actualité : Révolution 2.0, les bases existent-elle en France?

J’étais parti pour faire un petit article parlant de la #FrenchRevolution. Manifestement, sur la toile, elle ne semble pas se calmer (et c’est tant mieux). J’espère qu’il en est de même IRL (dans la vie réelle) mais j’ai un peu plus de doutes.

Bref, j’étais donc parti pour faire un petit billet et je me suis souvenu que des personnes de la Twittosphère et moi même avions rédigé un « petit » (pas si petit que ça en fait) article sur une révolution française à la 2.0.

Rétrospective et explications.

Nous sommes au début de la révolution/guerre en Libye, mon blog était chez Google (le service blogger), j’ai depuis mon propre nom de domaine, l’envie de créer et de faire ce que bon me semble comme je l’entends était trop forte.

Partout j’entendais « imagine, la Révolution arrive en France », « Imagine ça chez nous » … alors l’idée m’est venue d’en parler. L’article à été rédigé en deux jours, merci aux outils open source (un EtherPad dans ce cas là) et surtout, merci à tout ceux qui avaient répondu présent pour l’écriture.

J’allais faire un peu de ménage dans mes blogs, donc avant de faire disparaitre la version « Blogger » de Google, je tenais à reprendre cet article pour le laisser ici, bonne lecture à tous, c’est un ancien article et ceux qui me suivent depuis le début le connaissent déjà, je l’ai cependant trouvé bien plus d’actualité aujourd’hui qu’à l’époque.

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