Règlement de compte sur les Interwebz.

Bon, d’avance, je présente mes excuses à ceux qui ont  » l’habitude  » de me lire, vous n’êtes pas habitués à croiser le genre de propos qui vont suivre, rassurez vous, ce sera la seule fois de toute ma vie que j’écrirais un billet de ce genre.

Le titre du billet ne laisse pas véritablement de place à l’interprétation, c’est pour un  » règlement de compte  » que j’écris ce billet, donc, quelque chose qui est, pour moi, énormément personnel.

L’  » interview  » dont j’ai parlé il y a quelques billets a ramené un  » troll  » (pour rester poli) dans mon entourage. Attention, je parle du troll de compet’, velu, dans une grotte, toussa toussa, le genre de troll que si tu l’invite au dîner de troll le mercredi, t’es sur de gagner.

Manifestement, quelque chose lui à déplu, il sait se servir d’un ordinateur et m’a donc contacté par mail (on va pas pousser le bouchon, pas de  » twitPic or it didn’t happen ! « ). Au début, en étant un poil agressif, mais sans plus…voyant que j’ai (et oui, désolé) de l’argumentaire, il s’emballe et quelques noms d’oiseaux commencent à fuser.

(Ah oui, je suis pas du genre à me prendre la tête pour un « connard » ou autre à mon égard, en fait, je m’en tamponne les oreilles avec des babouches, mais d’une force…)

Mais la, c’est le drame, deux mots arrivent, pas franchement des insultes, mais le genre de mots qu’il ne faut pas me dire, surtout lorsque le thème abordé est un thème que j’ai profondément mal vécu: menteur et imposteur.

Imposteur : c’est pour ce qu’ai pu faire sur le webz, des articles de ce blog aux attaques dont j’ai parlé dans un précédent billet.

Vous ne le savez peut être pas mais tenir un blog (aussi petit soit-il, j’essaye de faire au mieux), rédiger, lire, se documenter, se relire (merci pour ceux qui me corrigent, sincèrement), c’est chronophage, j’ai un peu levé le pied, pour des raisons qui me sont personnelles, IRL et bien plus importantes et précieuses que tout le reste…mais j’essaye de faire au mieux (et ce n’est pas à moi de dire si le résultat est potable ou non).

Pour les attaques, of course, je m’amuse à aller mettre ce que j’ai fait sur le web, en public, en sachant que ceci sors de la légalité…raisonnement de  » troll  » oblige, logique imparable.

Menteur: (et c’est la raison de cet article), à ma demande d’explications, la réponse fut  » Le Web fais croire qu’il c’est passé qqch en Tunisie alors que s’est pas vrai  » (ps : achète un Bescherelle, putain j’ai mal dans mes yeux, bisous.)

Ceux qui me connaissent le savent, qu’on m’insulte, je m’en contrefous profondément (et le mot est faible)…mais qu’on vienne me dire qu’il ne s’est rien passé en Tunisie, non, non non et encore non. Je profite donc de mon blog pour me défouler par le biais de ce billet, le reste n’en valant pas la peine.

1° : Tu apprendras, mon cher, que j’ai une  » éthique « , des règles de vie et que je suis très pointilleux dessus (et oui, je fonctionne ainsi, j’ai 10 règles, un peu comme un credo) et je m’y tiens strictement :

N°1 : reste toi même, dans toutes circonstances.
N°2 : le mensonge ne te sert pas, seule la vérité compte.

Libre à toi de me croire, ou non. Passons rapidement ce 3615 my life.

Il ne s’est rien passé en Tunisie : …. dis-moi, tu sors de 30 ans de prison ? d’une grotte ? du Centre (quoi que…enfin bref) ?

Je t’invite à aller sur Google et à chercher de toi-même afin de comprendre la profonde stupidité de tes propos…ah merde, j’oubliais, c’est le ouaib, tout n’est que mensonge…c’est vrai, pardon.

Photo_tunisie_1

WTF ??

Je suis gentil, je t’épargne les photos de cadavres que j’ai relayé pour faire comprendre au « monde » qu’il se passait quelque chose. C’est quoi ces photos, ce sont les bisounours en vacances d’été ? L’elfe en train de coiffer des poneys et de cueillir des framboises?

Tu m’as agacé et tu serais ici, il y aurait des morceaux de flamby partout sur les murs, sincèrement…

Critique moi autant que tu veux mais ne remets jamais en question ce qu’il à pu se passer en Tunisie, tu insultes la vie des hommes et des femmes qui se sont battus pour être libres, tu insultes ceux qui se sont investis, aux côté des tunisiens, pour les aider à s’exprimer. On m’a ramassé dans un état pitoyable à la sortie des révolutions tunisiennes, j’ai passé des soirées et des nuits derrière mon écran, à relayer des informations, à faire passer des messages, à essayer d’aider comme je pouvais…et j’ai enchaîne sur les révolutions égyptiennes ou se fut pire (oui, ce n’est pas pour rien que j’ai relayé un article qui parle d’une envie d’en finir, enfin bref). J’ai  » débranché  » avec la Libye, je reste volontairement à distance, de peur de me retrouver dans le même état…et toi, tu as le culot de venir dire qu’il ne s’est rien passé en Tunisie, comme ça…

Tu as le droit de ne pas m’aimer, je ne te force en rien (et a vrai dire, je m’en moque, je ne suis pas là pour me faire aimer ou pas), mais un peu plus de respect, ça fait jamais de mal.

Je te félicite quand même, tu es le premier (et le seul) à m’avoir fait écrire un billet que jamais je n’ai voulu écrire ici, tu viens me déranger dans mes activités (et en plus me faire parler de toi sur mon blog), tu m’insultes, tu insultes la mémoire de personnes jusqu’à remettre en cause les événements du printemps arabe, félicitations…

Dans le fond, je te plains, si tu viens stalker ce que je fais ici, c’est vraiment que tu n’as rien d’autre à faire, tu t’ennuies ? N’as tu donc pas de vie ? C’est triste. Je n’avais pas envie d’écrire ce billet, parce que c’est t’accorder de l’importance, mais je préfère de loin les mots plutôt que la violence.

J’arrête ici, je t’ai déjà accordé bien trop de place sur mon blog. Bisous Câlins Poke.

Je sais, je sais, Haterz gonna hate, mais là, fallait que ça sorte.

Lorsque les chanteurs s’attaqueront aux maisons de disques.

Parce que, parfois, 140 caractères…c’est vraiment trop court pour exprimer une idée, j’aimerais revenir sur cette information et je me permets une réponse via mon blog, puisqu’il est ici pour cela 😉

En résumé, nous pouvons apprendre que, d’ici peu, une nouvelle bataille juridique va débuter. Elle opposera des chanteurs (et de plus en plus de chanteurs) à leur maisons de disques.

La raison : les chanteurs veulent (et pourront) récupérer les droits de leurs œuvres, une clause présente dans le contrat leur permet de le faire, après que la maison de disque a profité pendant 35 ans des bénéfices liées aux ventes sur l’ensemble de ces fameuses musiques.

Donc, oui, vous avez bien lu : une clause de contrat. Relisez encore une dernière fois cette phrase ;). Nous avons donc affaire à de futures batailles juridiques, à coup de millions de Dollars et de news dans les tabloïds…pour une chose qui n’a pas à être discutée, car oui c’est bien de cela qu’il s’agit. C’est une clause de contrat, contrat signé en accord entre deux parties : la maison de disque et l’artiste, ce contrat est réputé comme base fiable et, si quelque chose doit changer, il faut alors signer de nouvelles clauses.

La réponse d’Universal, EMI, Warner et Sony BGM ne s’est pas faite attendre :
« Les maisons de disques estiment en effet que les chansons leur appartiennent définitivement, dans la mesure où elles ont été enregistrées sous contrat, et que les musiciens étaient dès lors considérés comme des employés. » (source de l’information : l’article cité ci-dessus)

Cette phrase résume à elle seule le paradoxe de cette situation. Nous avons d’un côté des faits: un morceau de papier, signé par deux parties avec des termes que j’imagine précis…et de l’autre, nous avons une des parties du contrat qui refuse explicitement de respecter ses engagements.

J’ai une question cependant : ou sont les voleurs dans l’histoire au final? Il n’est nullement question de « piratage » ici, pourtant les artistes (dans leur bon droit) ne peuvent pas bénéficier de leurs œuvres…

Dernier point, un peu troll je dois avouer : voyez ce que les majors font avec des contrats, des faits établis depuis des années… imaginez maintenant tout ce qu’elle peuvent faire…

Pixellibre.net fait peau neuve! (MAJ)

Bonjour à tous, petit passage rapide pour un tout aussi rapide état des lieux :

Nouveau thème, comme vous pouvez le constater (il est mieux fichu que l’ancien et, si j’en ai changé, c’est parce qu’il manquait des fonctionnalités à l’ancien (personnalisation, images à la une des articles, enfin, tout ça quoi…)

Je vous laisserais le soin de découvrir tout, pour l’instant c’est pas encore fini, il me faut tester le thème et remettre le tout en français, mais je suis content du résultat :p

Edit : le thème est actif à 100 % et totalement dans la langue de Molière, si vous constatez des erreurs, contactez moi!

Ps : Beaucoup me l’ont fait remarquer : oui, j’ai rendu mon compte twitter privé, ce qui signifie que tant que je n’ai pas autorisé la consultation de mon compte, vous ne pouvez plus lire mes tweets. N’étant absolument pas fan de ceci, bloquer une information, je vous doit des explications : j’ai une personne (un pro FN, pour être exact) qui se sert de certains de mes tweets pour ses articles, donc en attendant qu’il se calme, je rend le compte privé. Mes excuses pour la gêne occasionnée, en espérant que tout rentre dans l’ordre rapidement.

Vous lirez ce qui suit !

Ce matin, on met la #NetNeutrality, le oueb des barbus, la HADOPI et tout le reste de côté. Ce matin, il y à beaucoup plus important à faire.

Ce matin, il faut lire cet article, témoignage de Louis sur le traitement qu’il doit subir.

Qu’on se le dise, ça n’est pas vraiment en rapport avec ce que vous pouvez lire sur mon blog mais, et parce que c’est un blog perso, c’est une information que nous allons tous faire tourner.

C’est la vie de Louis, 43 ans, entrepreneur et web entrepreneur, dynamique, motivé, débordant d’énergie…et tétraplégique. L’organisme de soin qui est en charge de tout l’aspect médical de sa vie…à tout simplement décidé de faire de sa vie un cauchemar.

C’est un article à lire et surtout à relayer, faites tourner l’information, relayez-la, faites sortir l’information de la toile, envoyez le lien à qui vous pouvez. Il faut que cet article fasse du bruit, pour lui mais également pour toutes les personnes qui sont dans la même situation que lui (et il faut que les pouvoir publics se bougent le cul, qu’on se le dise)

Merci d’avance.

Quand Arte parle de Hacking.

La chaine de télévision Arte diffusait un dossier contenant deux reportages sur le domaine du hacking, j’estime qu’un petit billet est nécessaire pour vous expliquer ce qu’il s’est raconté lors de ces deux reportages :

1er reportage : Les nouveaux maîtres du monde : la guerre invisible.

« Séduits par leur aptitude à maîtriser le cyberespace, les États font les yeux doux aux hackers. Rencontre avec ces génies de l’informatique qui préparent la guerre de demain. »

Je vais essayer d’être bref, il se fait tard et un article de 100 pages n’est pas forcément ce que vous recherchez, résumons donc les idées abordées.

Ce premiers reportage proposait de découvrir Internet et le Hacking comme une « arme de destruction massive », il à été question de la future guerre numérique, des virus et des dégâts qu’ils peuvent causer (un point sur Stuxnet à été fait, en long en large et en travers).
Stuxnet est un énorme virus qui à causé beaucoup de dégâts, vous pouvez trouver plus de détails sur l’encyclopédie Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Stuxnet.

Le ton et la trame de fond de ce premier reportage était « grave » : la guerre froide, l’impact d’un virus à l’échelle mondiale, etc. etc. Le reportage à quand même pas mal tourné autour des Etats-Unis et du scénario « Die-Hard » like : une attaque de grande envergure sur les réseaux, la bourse, le courant […] aux Etats-Unis est-elle possible ou pas? Si oui, quels seraient les impacts de tout ceci. Qui sont les ennemis des Etats-Unis sur la toile ? (la Chine, les pays d’Afrique du Nord ou bien la Russie…oui, c’est un peu cliché)

Le reportage était quand même pas mal vous trouverez les reportages en streaming, les adresses sont présentes dans le billet. Seuls point que j’ai trouvé négatifs : la voix off (qui devait venir de chez TF1, à la façon qu’elle avait de tourner ses phrases :p) et les quelques « bourdes histoire d’attirer le badaud quitte à raconter de grosses stupidités », comme par exemple « Pirater un F35 (ndlr : un avion de chasse) en plein vol avec un autre avion et faire stopper les moteurs du F35, c’est véritablement pas compliqué » (ouais, enfin faut pas pousser non plus la) ou bien encore le fait que les USA ne faisaient pas d’espionnage industriel parce qu’ils sont gentils…par contre les chinois en font et c’est parce qu’ils sont méchants…bref, un reportage parfois tourné comme une éloge des USA aux USA par les USA, etc. etc.

Si vous souhaitez visionner ce reportage : http://videos.arte.tv/fr/videos/la_guerre_invisible-3945070.html

2nd reportage : Hackers : ni dieu, ni maître

Que serait Internet sans eux ? Une immersion instructive dans la vaste communauté des hackers.

D’un côté, il y a les « black hats » (chapeaux noirs), les délinquants virtuels mus par l’appât du gain ; de l’autre, les « white hats » (chapeaux blancs) ou pirates bienveillants. Les hackers forment une vaste communauté aux profils diversifiés. Capables de modifier la une d’un journal sur le Net ou de piéger le ministre de l’Intérieur, ils sont aussi les seuls à savoir protéger les entreprises des menaces informatiques. Inventeurs des logiciels libres – permettant d’échapper à la toute-puissance de Bill Gates ou de Steve Jobs -, ils sont aussi, grâce à l’exploration des failles informatiques, à l’origine de la sécurisation des achats en ligne. Beaucoup n’ont qu’un bac en poche mais les services secrets et les responsables politiques se disputent leurs faveurs… À contre-courant des idées reçues, ce film raconte la génération hackers, entrée dans l’arène politique et médiatique à l’occasion du débat sur Hadopi.

Ce reportage à pas mal nuancé le premier qui parlait du « danger Internet » et, surtout, à présenté une visions des hackers que peu de monde présente dans les médias actuels. Les hackers sont considérés comme des personnes dangereuses pour tout le monde, alors qu’il existe un autre monde dans le hacking: celui d’un monde ou Internet n’aurait pas existé si les hackers n’avaient pas été là.

Le reportage explique quelque chose que vous avez déjà lu sur ce blog : un hacker n’est pas forcément méchant mais, sans eux : pas de sécurité sur Internet, pas de compte de banque sur le Net, pas d’impôts en ligne, certainement moins de logiciels ouverts et libres car les protocoles n’auraient jamais été ouverts…

Je ne vous en dit pas plus, l’article est là pour vous donner un avant gout de ce que vous devez voir.

Si vous souhaitez visionner ce reportage : http://videos.arte.tv/fr/videos/hackers_ni_dieu_ni_maitre-3945076.html

Contribuez à cet article, partagez, copiez, retweetez, ces reportages valent la peine d’être vus et sont vraiment accessibles à tout le monde

Androïd et DJ Rivals, quid de la localisation ?

Petit article « feedback » d’une expérience personnelle fortement déplaisante.

J’ai testé le jeu « Dj Rivals », une sorte de Guitar Hero like, mais avec des platines et sous Androïd.
Le jeu est plutôt agréable, bien conçu, le but du jeu est de devenir le DJ des DJ, le boss quoi (un peu comme dans tout jeu), au fur et à mesure des niveaux, on débloque des tables de mixage, des compétences, de nouvelles attaques contre les ennemis…bref, un jeu pas mal qui tourne sur un principe bien rodé et éprouvé.

Dans ce jeu, on doit se mesurer à des DJ dans une carte et c’est cette carte qui à commencé à me faire peur (à tord ou à raison, je ne peux pas le dire).

Pourquoi ? Parce que cette carte vous propose des lieux à proximité de chez vous : des commerces, des restaurants, des écoles, entreprises…et des gens près de chez vous.

Sur le coup, j’ai été un peu étonné. Mon GPS est désactivé sur le téléphone, la connexion wifi aussi (je ne suis pas loin d’être anti-wifi). Le téléphone utilise sans doute la carte SIM (par technique de triangularisation je crois, en gros, les antennes mobiles ou votre téléphone est connecté vous détectent et, s’il y en a au moins trois, on est capable de vous localiser avec plus ou moins d’exactitude).

Une fois quelques levels passés, on vous demande de vous créer un compte sur lequel vous serez toujours authentifié lors de votre arrivée en jeu. Quelles informations stocke ce compte ? Je ne sais pas.
Les ennemis se réactualisent à chaque changement de position même si elle est dans la même ville, on vous propose de défier les boutiques du quartier, les restaurants…ainsi que les habitants, avec leur nom et prénom.

Le jeu à besoin d’un accès Internet pour fonctionner, la connexion au compte est donc distante et, naturellement, je m’interroge sur quelques points:

–     si la connexion est distante, qu’est ce qui est stocké sur le serveur ?

–     Est-ce que quelqu’un est en mesure de récupérer les données envoyées ?

–     Il existe un fichier de traçage sous Androïd…et si ce logiciel l’utilisait ?

–     Ca voudrait dire que le jeu est capable de lire les données du fichier et donc, que d’autres applications peuvent ?

Bref, j’ai trouvé que ce jeu était une bonne représentation (tournée sous la forme d’un divertissement) de ce qu’il est possible de faire sous Androïd (vous suivre à distance, par exemple).
Reste une question en suspens : si le jeu est capable de lire le fichier de traçage d’Androïd, comment savoir que rien d’autre n’a accès au fichier en question et que ce dernier est crypté ?

Et si nos données sont hackées, n’est ce pas la une grosse faille de sécurité ?