Sans titre

Notes : dans une motivation particulière, ou parce que je pense que le moment s’y prête, je publie cette chose, rédigée un soir sur laquelle je suis retombé, hier soir. Je n’ai pas à justifier ma publication, c’est mon blog après tout, vous êtes cependant libres de tirer à vue ou de passer votre chemin, ou que sais-je… mais que ça soit clair, ce billet n’apporte sans doute pas grand chose, voir rien, si ce n’est un exutoire pour votre serviteur, humain aussi. C’est ma façon de gérer le trop plein, voila.


Ne sachant pas quel titre donner à ce billet qui ne verra sans doute jamais le jour, sans titre, ça sera très bien. S’il fallait le nommer, ça serait quelque chose comme « j’ai un problème avec moi-même » ou « pourquoi je suis bloqué ».

C’est un peu une confession puis je vais faire ça à la manière d’un billet, c’est tout sauf ce que j’ai l’habitude d’écrire ici, tout sauf ce dont j’ai l’habitude de parler, surtout avec des pixels et surtout quand ces pixels ne vont jamais savoir tout ce qui est dedans

Pour autant, le fait de coucher sur octets ce que je pense, le fait d’en parler, qui plus est avec des gens qui ne me connaissent pas forcément, n’est sans doute pas mauvais. Ou peut-être.

Par où commencer… peut-être par cette impression de solitude, ce sentiment d’être complètement éteint, ou d’être de la plus grande des inutilités possible.

Ailleurs, j’aide du mieux que je peux. J’aide des gens que je n’ai jamais vu, juste parce que je sais que je peux faire quelque chose, mais je sais également que je ne suis – pour l’instant – pas capable de beaucoup pour aider.

Ailleurs, je suis une personne qui excelle ou qui pense exceller, qui semble reconnue pour détenir un certain savoir-faire, savoir que j’aime partager. J’aime tellement que j’en ai même fait mon métier.

Pourtant, ça ne va pas.

Je devrais être content, j’aime ce que je fais et j’ai ce que d’autres souhaitent avoir : une situation relativement stable, de la chaleur, de quoi manger, un accès à Internet, j’ai même assez pour quelques plaisirs à côté…

Alors ou est le problème ?

Bah, c’est ça le problème justement, je n’arrive pas à mettre de mots sur ce qui ne va pas. Clairement, j’ai l’impression d’être devant un casse-tête, quelque chose d’insurmontable, et le fait de ne pas réussir à poser de mot(s) dessus complique d’avantage la chose et me fait comprendre que quelque chose doit bien être en panne, quelque part.

J’ai pour façon de penser : si ça ne te convient pas, change les choses. Pourtant, j’ai beau essayer de les changer, les choses, elles restent encore et toujours les mêmes, et là, je bloque.

Ces réflexions reviennent de plus en plus souvent et, si avant c’était réglé à base de « c’est un coup de blues », il devient difficile de continuer de cette façon.

Est-ce que c’est parce que j’ai l’impression de faire du vent ? Dans tout ce que je fais, ici ou ailleurs, de la façon la plus calme possible ou de la plus passionnée, d’un citoyen à une eurodéputée, j’ai l’impression que rien n’avance.

Comme en panne, bloqué au point mort, devant encore et toujours continuer à forcer pour qu’un jour, ça se décide à démarrer.

C’est comme si une petite voix était en permanence en train de me dire « chaque effort sera vain, chaque acte sera un échec et ceci pour jusqu’à la fin des temps », rajoutant un « mouahahahahahahah » à la fin, bien évidemment.

Ce système ne me convient pas et le changer ne semble pas fonctionner. Sans doute parce que vouloir changer le monde tout seul, c’est un peu utopiste, sans doute très con et surtout inutile, n’étant pas décideur sur « le monde » dont il est question.

Alors maintenant, que faire ?

Que faire aussi contre ce sentiment qui me travaille : l’égoïsme. Attention, va falloir suivre.

Le fait de coucher sur papier ce que je pense me fait parler de moi, le fait de voir partout des « moi » et des « je » alors qu’ailleurs, des gens se prennent des bombes sur la tronche, quand ce n’est pas une balle en pleine tête à bout portant, ce n’est pas une chose des plus agréables.

Le simple fait de me plaindre démontre une grosse partie assez égoïste. J’imagine que nous le sommes tous, mais ce que je vois dans la glace me déplait et je n’ai pas encore trouvé la façon de changer ça.

C’est paradoxal hein ? Un mec qui crie partout pour faire bouger les choses, qui essaye avec ses moyens de faire mieux et qui, en fait, est incapable de faire bien ou mieux pour lui-même, préférant se plaindre…

On me considère comme un bidouilleur, un hacker même, un mec capable de plein de choses… on va rétablir la vérité : je suis un homme, un gamin sans aucun doute, loin d’être un hacker. Le titre est très gentil, il flatte sans doute un égo surdimensionné, mais il me semblait important de dire ce que je ne suis pas, ne sachant pas ce que je suis vraiment.

Me voilà en train de rédiger quelque chose qu’il serait bon de partager, un jour, si vraiment ça ne va pas, si vraiment je n’y arrive plus, puis ça sera sans doute mieux que de l’écrire à moi-même. Puis ça se trouve, je ne suis pas seul dans ce cas-là, non… je ne suis certainement pas seul dans ce cas-là en fait, c’est sûr.

Allez, un peu de sérieux, y a pas le temps de pleurnicher non plus, et encore moins pour des choses stériles comme ça, reprenons.

Tu sais, cher billet sans titre sur un odt, un jour, p’tet que tu vas voir le jour, en attendant, tu vas rester quelque part et puis on verra bien.

10 réflexions au sujet de « Sans titre »

  1. Bonsoir !

    Je prends la liberté de te répondre. Sans doute parce que je suis, étrangement, très exactement au même point que toi, au même moment. Mon billet à moi a trouvé sa place sur facebook, dans un coup de gueule parfaitement inutile mais … quel défoulement. Et après ? Ca ne va pas mieux, bien sûr. Mais au moins, ça, c’est fait.
    Alors oui, je prends la liberté de te répondre.

    Pour commencer … Certes, cela n’apporte rien à tes lecteurs. Soyons lucides : 99,9% des gens se foutent éperdument de leur prochain, que ce soit sur la toile ou IRL. Leur intérêt à l’autre s’arrête là où commence leur propre intérêt, justement.
    Mais ça t’apporte à toi, puisque tu parles d’exutoire, et ça, c’est déjà un grand pas.

    Le faire, l’écrire, en parler, ce n’est ni bon ni mauvais en soi. C’est ce que tu fais de ce déchargement de trop plein qui le définira.

    Quand j’y pense, j’ai la conviction que si nous avons « accroché » (bien sûr, je parle sur un plan amical – et je suis persuadée qu’il m’était inutile de te le préciser 😉 ), c’est parce que de bien des façons, par bien des côtés, nous nous ressemblons.
    Cette remise en question perpétuelle, ce besoin de se sentir utile sans y parvenir, ce mal-être, cette solitude … Jusque dans ce sentiment d’être éteint.
    Cette nécessité de paraître fort, libre, enthousiaste, cet acharnement à tâcher de changer les choses, cette double personnalité qui donne l’impression que tout nous est possible, que tout va bien, que nous avons tout. Travailler si fort à garder cette image que nous finissons presque par y croire nous même. Nous en venons à culpabiliser de penser à nous-même, puisque tout notre volonté est tendue vers les autres. Dans cette spirale vicieuse qui nous pousse à nous détacher de nous-même, nous finissons par nommer le besoin de prendre soin de soi « égoïsme », quand nous en reconnaissons la nécessité pour les autres – et même, que nous l’encourageons. Nous poussons les autres à se confier, à se vider, mais nous nous l’interdisons. Parce que notre image n’a pas le droit de se plaindre. Notre reflet se rit de la douleur, du malheur, de la solitude.

    Mais c’est une image. Et je suis sûre que tu le sais aussi … Tu sais ce à quoi ressembles ton reflet, mais toi, au fond, qui es-tu ? Que vas-tu devenir ? Que veux-tu ? Et surtout, cette solitude sera-t-elle toujours aussi présente ?

    C’est pour cela que j’ai pris la liberté de te répondre, même si ce billet n’appelait pas de réponse : j’ai senti chez toi ce qui existe chez moi. Un gamin paumé, terrorisé. Une partie de toi qui est restée prisonnière du passé, qui ne peut pas grandir.

    Franchement … j’ai quelques années de plus que toi, pourtant je n’ai pas trouvé de solution, alors je ne suis pas la meilleure personne pour te rassurer – même si je te souhaite de trouver tes réponses bien plus vite que moi.

    Mais il y a une chose que je sais.

    Il y a des personnes qui se prennent des balles, des bombes. Des enfants qui sont enfermés dans des caves et violentés. Des femmes battues, et encore toutes les horreurs dont l’humanité est capable.
    Et puis dehors, il y a aussi ces gens qui ne voient ces choses que dans leur lucarne, avec quelques mots de pitié, puis qui pensent très vite à autre chose. Ceux-là ne se torturent pas, se sont trouvé une place, s’y tiennent, n’ont que faire du reste du monde.

    Et enfin, il y a les gens comme toi. Ceux qui donnent sans compter, ne trouvent jamais suffisant ce qu’ils font, cherchent des solutions pour changer le monde – quitte à n’être qu’une goutte dans l’océan. Qui prennent à coeur les problèmes d’autrui. Qui se remettent en question, sans cesse.
    Tu sais, te remettre en question, c’est que tu cherches à avancer. C’est déjà faire un pas. Même si ce pas prend pour le moment la forme, selon toi, d’une plainte, tu es déjà un tout petit peu plus loin en publiant cet écrit que le jour où tu l’as écrit.

    Plains-toi, autant que tu le souhaites. Si tu hésites à le faire par crainte de ne pas le supporter – et oui, se plaindre peut-être terrifiant parfois, la peur de l’engrenage, tout ça – alors fais-le par petits bouts. Et si tu ne sais que faire de tous ces mots, envoie-les moi. Je suis, encore une fois, persuadée que ces paroles seront inutiles, je crois que tu m’as bien cernée, mais je te l’écris quand même : il n’y a pas de place, dans mon esprit, pour le jugement, les sermons, les leçons de morale, ni la psychanalyse de comptoir.

    Et, qui sait, il paraît que deux têtes valent mieux qu’une …

    En attendant, une grosse bise à Numendil, au professionnel que je connais, et au J. un peu paumé qui se cache derrière …

    Perseph0ne

    1. Coucou, je n’ai pas de réponse à formuler, si ce n’est celle d’un accord, je crois qu’on se comprend, en effet, jusqu’au reflet. Ce que je suis, derrière, c’est une bonne question et je n’ai pas la réponse. Je sais juste que j’essaye d’être en accord avec mes valeurs, ce qui est assez compliqué en ce début d’année.

      Si se trouver une place est synonyme d’arrêter de chercher et d’arrêter de concevoir les choses d’une façon différente, si c’est en partie s’occuper de soi, je crois que ça ne sera pas pour moi, ou pas éternellement.

      Reste qu’il me reste une étape que je n’arrive pas souvent à passer : avancer. Tirer des conclusions de tout ceci, et avancer.

      Pour l’instant, il est préférable que je décroche un peu, que j’aille rencontrer des gens d’un autre monde, puis pour la suite, on verra après.

      Je sais que tes propos ne portent pas de jugement, ni de sermons ou de leçon quelconque, d’ailleurs, je t’en remercie. Tu as également raison sur le fait que deux têtes valent mieux qu’une, seul on va plus vite, à plus on va plus au fond des choses.

  2. Bonjour Numendil,

    Je lis ce billet, et je vois une période ou comme toi j’ai douté.
     » Et si je ce que faisait ne servait à rien? »
     » Le fait de vouloir aidé les autres, est ce réellement un geste altruiste, ou juste un moyen de faire pénitence? »

    La réponse est peut-être oui à ces deux questions, mais… si la réponse était non? Si tout ça faisait avancé les choses? Si toutes nos action pour changer le monde activait les rouages de la machine du changement?

    Il est vrai que bien (trop) souvent, on a l’impression de ne servir à rien. Lorsque l’on est un militant comme toi (et tu sais qu’elle noble valeur je met derrière ce mot), on n’attend pas forcement de reconnaissance à nos actions, mais pourtant ça fait du bien. Bien souvent lorsque tu aide ton prochain tu n’obtient même pas un merci, mais parfois… parfois changement est visible, et je peut te garantir que ça fait du bien de voir que l’on est utile.

    Je pense que tous les grands Hommes (au sens humanité), on eu des moments de doute au vu de la lenteur des changements. tu aimerai que tes actions ai un impact immédiat, et je ne peut te blâmer, mais malheureusement il faut du temps pour faire changer les choses, pour faire changer les gens.

    Tu pense être égoïste, et je ne suis pas d’accord. Si je devais te donnais un défaut, se serait perfectionniste ou impatient au choix. Tu veux un monde meilleurs pour tous, et tu ne veut pas attendre.

    Si je peut me permettre un conseil, continu à faire ce que tu fait car tu le fait bien, garde espoir car un jour tes efforts seront payants.

    Je te souhaite d’avoir la possibilité de voir les conséquences positives de tes actes. Et pour l’avoir vécu, je sais que ça te redonnera courage, espoir et une volonté plus farouche de justice et d’équité.

    J’espère qu’un jour tu aura la preuve concrète de ce que tu apporte à ton entourage (dans le cybermonde ou IRL).

    Alexandre D. Alias Ocelot

    1. Bonjour 🙂

      Ce n’est pas de la reconnaissance que j’attends, en fait, je crois que je me fiche de la reconnaissance et si un jour elle devient facteur de motivation, alors j’arrêterai, ça sera devenu une motivation pour un intérêt personnel. Ça sera pour de mauvaises raisons.

      En revanche, je t’accorde le fait d’être perfectionniste et que ceci joue dans la balance, je n’aime pas les choses qui ne sont pas bien faites, surtout lorsque des gens peuvent avoir besoin de x ou y

      Je ne suis pas adapte de la reconnaissance, c’est peut-être ce qui me fait « défaut », n’ayant pas encore trouvé d’indicateur me permettant de juger d’une quelconque utilité.

      Je ne dirai pas que je suis impatient, je suis sans doute bien naïf et un peu utopiste tendance bisounours surtout, à penser que l’Homme est capable de vivre en paix (c’est vrai que l’histoire de l’Homme, c’est absolument pas la guerre & co, non non…)

      Bref, wait & see, il faut que je tire mes conclusions de tout ceci

  3. Bonjour à toi Num.

    Et bien que dire… Cette confession en ligne ressemble fort à une cyber-confession si je puis m’exprimer ainsi.

    Tes actes te paraissent apporter ce que tu souhaites, mais apparemment tu n’as pas l’air satisfait de ton existence, quelque chose semble te manquer.
    Peut-être est-ce simplement le fait que tu changes, arrivant à un âge où tu fais un premier bilan général de ton parcours sur cette Terre. Tu te poses des questions et c’est je trouve plutôt sain. Maintenant attention à quelques points, car étant passé par là d’une certaine manière et sans vouloir ériger ma parole en dogme existentielle, je vais me permettre deux trois conseils:
    Le premier ne t’appesentis pas trop sur ton ressentis, c’est le meilleur moyen de ne pas agir.
    Le second et tu l’as remarqué toi même je crois est que tu te focalises sur toi. C’est bien quelque part, mais il est nécessaire d’après moi d’englober ton entourage proche dans ta reflexion, car ils doivent avoir sans aucun doute une certaine influence sur toi et tu en as une sur eux.
    Le dernier, et bien ce sera je crois ma conclusion, et reprend quelque part mon premier, et il est qu’il faut te faut mettre des actes sur tes mots et ta pensée qui n’auront de sens que par des faits concrets, cependant point de précipitation.
    Et puis laisses toi couler, laisses toi un peu aller, laisses toi voguer paisiblement sur l’océan des maux qui te hantent tu finiras bien sans trop te prendre la tête à apercevoir la Terre ( du Milieu ? )…

    Sur ce bonne route !

    1. Oui et non, je me pose chaque jour cette question et ce depuis des années, un peu plus depuis environ deux ans et je pense savoir à quoi tout ceci est lié.

      Dans mon « monde », on dit souvent que pour être utile, il faut être conscient de sa personne, conscient du fait qu’on ne peut pas tout le temps aider et qu’on ne peut pas aider tout le monde, et c’est aussi cette idée là qui crée le reste, cherchant à aider autant que possible et, de facto, rejetant cette idée.

      Mon entourage proche est dans le même monde et il n’est pas rare que cet entourage se pose les mêmes questions, avec la même absence de réponse derrière

      Pour clôturer, wait & see, je vais prendre le temps de me laisser le temps… et voir ce qui en ressortira.

  4. Bonjour Numendil,

    Je crois que chaque individu passe par cette phase de questionnement. Cela dit la partager ainsi demande pas mal de courage.

    Quelques uns, un peu plus haut, parlent de l’attitude envers son prochain. Pour ma part je te partagerai deux lignes.

    « Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimés. »
    « Grâce à ceci, tous connaîtront que vous êtes mes disciples »

    Quentin

  5. Bah tu vois, toi tu t’es demandé si tu dois publier ce post, moi je me demande si je dois laisser un commentaire…

    Bref.

    Il y a des hauts et des bas dans la vie, puis avec l’âge ( et à force de m’en prendre plein la gueule dans tous les sens ) j’ai fini par comprendre que le plus important c’était de ne pas tenir compte du changement autour de moi, de rester fière, libre, folle sans doute mais surtout, emmerder le monde tout en le respectant.

    Cela veut dire que ce ne sont pas les choses qui contrôlent ma vie, mais moi qui reste debout face aux situations, les interprète, les absorbe en moi, même les plus difficiles.

    Au fond, on peut contrôler les choses d’une certaine manière en apprenant à canaliser nos émotions – colère, rage, peur – et ne plus avoir mal. C’est un des précepte enseigné par le Bouddhisme.

    Je sais, dit comme cela c’est facile. Mais il faut se dire cela, coûte que coûte, et ne jamais oublier que la pluie ne dure pas éternellement, tout comme la souffrance et les larmes. La vie n’est qu’une vaste roue qui tourne …

    Si tu comprends le Latin => http://www.youtube.com/watch?v=BNWpZ-Y_KvU

  6. Bonjour, ça fait un moment… je me permet de te contacter car aujourd’hui j’ai eu de tes nouvelles par une amie. Ce billet, cela fait un moment que je l’ai lu mais je n’ai pas eu le courage de te dire, le combien je suis heureuse pour toi et ton chemin parcouru depuis quelques mois. Chez moi (tu sais ou c’est), on dit, sème une graine et laisse pousser tu verras bien si ça donnera des fruits… la graine pousse de plus en plus. j’espère que cela continuera… il y a des personnes qui pensent a toi, prends soin de toi, soit un peu égoïste pour une fois, après tout t’es un être humain et tu es en vie 🙂

  7. Je t’offre ce petit mot d’encouragement, en tant que passant compatissant.

    Je me surprends encore aujourd’hui, après 26 jeunes années passées sur terre et après avoir pourtant suivi vaguement mes cours d’histoire et lu attentivement les news non-édulcorées postées par des bloggueurs engagés tels que toi, à espérer qu’un jour l’humanité vivra en paix avec elle-même.

    On est plusieurs à le penser sur terre je crois, donc ça doit être possible non ? 😉

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