Lorsque les chanteurs s’attaqueront aux maisons de disques.

Parce que, parfois, 140 caractères…c’est vraiment trop court pour exprimer une idée, j’aimerais revenir sur cette information et je me permets une réponse via mon blog, puisqu’il est ici pour cela 😉

En résumé, nous pouvons apprendre que, d’ici peu, une nouvelle bataille juridique va débuter. Elle opposera des chanteurs (et de plus en plus de chanteurs) à leur maisons de disques.

La raison : les chanteurs veulent (et pourront) récupérer les droits de leurs œuvres, une clause présente dans le contrat leur permet de le faire, après que la maison de disque a profité pendant 35 ans des bénéfices liées aux ventes sur l’ensemble de ces fameuses musiques.

Donc, oui, vous avez bien lu : une clause de contrat. Relisez encore une dernière fois cette phrase ;). Nous avons donc affaire à de futures batailles juridiques, à coup de millions de Dollars et de news dans les tabloïds…pour une chose qui n’a pas à être discutée, car oui c’est bien de cela qu’il s’agit. C’est une clause de contrat, contrat signé en accord entre deux parties : la maison de disque et l’artiste, ce contrat est réputé comme base fiable et, si quelque chose doit changer, il faut alors signer de nouvelles clauses.

La réponse d’Universal, EMI, Warner et Sony BGM ne s’est pas faite attendre :
« Les maisons de disques estiment en effet que les chansons leur appartiennent définitivement, dans la mesure où elles ont été enregistrées sous contrat, et que les musiciens étaient dès lors considérés comme des employés. » (source de l’information : l’article cité ci-dessus)

Cette phrase résume à elle seule le paradoxe de cette situation. Nous avons d’un côté des faits: un morceau de papier, signé par deux parties avec des termes que j’imagine précis…et de l’autre, nous avons une des parties du contrat qui refuse explicitement de respecter ses engagements.

J’ai une question cependant : ou sont les voleurs dans l’histoire au final? Il n’est nullement question de « piratage » ici, pourtant les artistes (dans leur bon droit) ne peuvent pas bénéficier de leurs œuvres…

Dernier point, un peu troll je dois avouer : voyez ce que les majors font avec des contrats, des faits établis depuis des années… imaginez maintenant tout ce qu’elle peuvent faire…

Syrie: Le site du ministère de la Défense hacké par les Anonymous.

Anonymous fait passer un message de soutien au peuple Syrien (actuellement massacré par le dictateur Bashar Al-Assad)… et le fait directement sur le site du ministère de la Défense.

Anonymous a déjà participé à des évènements politiques lors du printemps arabe afin d’aider les peuples de Tunisie, d’Egypte ou encore maintenant, de Libye. C’est maintenant sur la Syrie que les Anon se concentrent. Cette nuit, le site du ministère de la Défense a été hacké par le « groupe ». Ils y ont fait apparaître un message de soutien pour le peuple, actuellement victime d’un massacre de « la main » de Bashar Al-Assad.

Le message disait ceci :

Au peuple syrien : le monde se tient à vos côtés contre le régime brutal de Bashar Al-Assad. Sachez que le temps et l’histoire sont de votre côté – les tyrans utilisent la violence parce qu’ils n’ont rien d’autre, et plus ils sont violents, plus ils deviennent fragiles. Nous saluons votre détermination à être non-violent face à la brutalité du régime, et nous admirons votre volonté de rechercher la justice, pas une simple vengeance. Tous les tyrans doivent tomber, et grâce à votre courage Bashar Al-Assad est le suivant.
Aux militaires syriens : vous êtes responsables de la protection du peuple syrien, et quiconque vous commande de tuer des femmes, des enfants et des personnes âgées mérite d’être jugé pour sa trahison. Aucun ennemi extérieur ne pourrait faire autant de mal à la Syrie que ce que Bashar Al-Assad a fait. Défendez votre pays – soulevez-vous contre le régime ! – Anonymous

A l’heure ou j’écris ces lignes, ce sont plus de 2000 personnes, hommes, femmes et enfants qui sont morts sous les balles de l’armée syrienne.

[Source : multiple]
[Image]

Image de la home du site de la Défense, après le hack

 

L’anonymat en ligne remis en question.

 

Blizzard avec son idée de forum, Facebook, certains politiques… et Google lui même sont en train de se pencher sur la question suivante : « Faut-il, ou non, permettre l’anonymat sur Internet? »

Analyse…

Avec plus de 750 millions d’utilisateurs, Facebook peut se vanter d’être la plus grosse plate-forme d’informations sur ses utilisateurs, ne serait-ce que parce que votre nom + prénom y figure, la plupart du temps.

Les récentes déclarations d’une directrice commerciale de Facebook confirment la volonté du réseau social à « tuer » l’anonymat sur Internet:

« Je pense que l’anonymat sur Internet doit disparaître. Les gens se comportent beaucoup mieux lorsque leur véritable nom est visible. Je pense que les gens se cachent derrière l’anonymat et ont le sentiment de pouvoir dire ce qu’ils veulent derrière des portes closes »

Même constat du côté de Google, ou Eric Schmidt (patron de Google) pense que l’anonymat sur Internet, c’est dangereux. Google+ est l’exemple parfait : les profils qui ne comportent pas de nom/prénom sont automatiquement suspendus. Google a depuis annoncé qu’il allait lâcher un peu de lest sur cette chasse aux pseudonymes.

Côté politiques, une proposition de loi de 2010 (et du député Jean-Louis Masson) proposait d’interdire l’anonymat sur les blogs, allant même jusqu’a demander, par exemple, une adresse postale ou un numéro de téléphone pour s’enregistrer…autant dire, la fin complète de l’anonymat.

Mon avis sur la question

Bien que je comprenne les points de vue de Google, Facebook & Co… je suis contre la levée de l’anonymat, il faut préserver la possibilité d’être anonyme en ligne. Certes, l’anonymat aide à délier les langues sur Internet et certains s’en servent pour tenir des propos injurieux, insultants, pour troller, … mais d’autres s’en servent pour parler de sujets sensibles ou de sujets qu’ils n’aborderaient pas s’ils n’étaient pas anonymes.

Imaginez un site parlant de drogue, de sexe, de votre travail (avec votre obligation de confidentialité) ou plus encore, imaginez être obligé de publier sous votre vrai nom dans un pays ou la censure politique fait rage? Difficilement concevable.

L’anonymat, même si je suis conscient qu’il pose parfois problème, c’est un vecteur de la liberté d’expression (et pas des moindres), sans lui, le contenu disponible fondrait comme neige au soleil.

Dernier point : le droit à l’oubli. Si vous avez un pseudonyme, ce dernier peut être lié à des choses parfois peu glorieuses, ou des mots clés étranges…et avec votre vrai nom? Un pseudonyme peut se changer, votre identité non.

Articles liés à ce billet : [Le blog du ma-gni-fi-que JCFrog] – [Numérama]

[Source de l’image]

Rendez vous dans un an.

Bonsoir à tous. Permettez-moi tout d’abord de vous présenter mes excuses pour cette interruption dans votre vie quotidienne. J’aime, comme beaucoup d’entre vous, le confort du train-train quotidien, le sentiment de sécurité et la tranquillité que procure ce qui est familier et répétitif. Je les apprécie, comme tout à chacun.

Mais dans cet esprit de commémoration qui prévoit que les évènements importants du passé, habituellement associés à la mort d’un individu, ou à la fin de quelque horrible bataille sanguinaire, soit célébré par de sympathiques congés, j’ai pensé que nous pourrions célébrer cette fête nationale, jour hélas de plus en plus oublié, en consacrant un court instant de notre vie quotidienne à nous asseoir et à bavarder un peu.

Il existe bien sûr des personnes qui ne veulent pas que nous parlions. Je soupçonne qu’en ce moment même, des ordres sont aboyés dans les couloirs de nos institutions pour définitivement nous faire taire. Pourquoi ? Parce que même si l’on peut substituer la matraque à la conversation, les mots conserveront toujours leur pouvoir. Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est-ce pas ?

Cruauté et injustice. Intolérance et oppression. Et là où, auparavant, vous aviez la liberté de faire des objections, de parler comme bon vous semblait, vous avez maintenant des censeurs, des systèmes de surveillance vous contraignants à la conformité et sollicitant votre docilité.
Comment est-ce arrivé ? Qui est à blâmer ? Bien sûr, il y a ceux qui sont plus responsables que les autres et qui devront en rendre compte mais… Encore dans un souci de vérité, si vous cherchez un coupable, regardez simplement dans un miroir.

Je sais pourquoi vous l’avez fait. Je sais que vous aviez peur. Qui pourrait se vanter du contraire ! Guerre, terreur, maladie. Une myriade de problèmes a contribué à perturber votre jugement et à vous priver de votre bon sens. La peur a pris ce qu’il y a de meilleur en vous. Et dans votre panique vous vous êtes tourné vers la personne actuellement à la tête de l’État français

Il vous a promis de l’ordre, il vous a promis de la paix. Tout ce qu’il a demandé en échange, c’est votre consentement silencieux et docile… et vous lui avez donné. ces dernières années, nous avons cherché à mettre fin à ce silence ! Ces dernières années, nous avons essayé de rendre la mémoire à ce pays.

Il y a de cela des siècles, des citoyens ont voulu ancrer à jamais le 14 Juillet dans nos mémoires. Ils espéraient rappeler au monde qu’impartialité, justice et liberté sont plus que des mots, ce sont des principes. Alors si vous n’avez rien vu, si vous ignorez toujours les crimes de ce gouvernement, je vous suggère de ne pas commémorer le 14 Juillet.

Mais si vous voyez ce que je vois, si vous ressentez ce que je ressens, si vous désirez ce que je désire, alors rangez-vous à nos côtés dans un an à compter d’aujourd’hui devant les grilles du palais de l’Élysée, et ensemble, nous leurs offrirons un 14 Juillet gravé à jamais dans les mémoires !

A storm is coming…sortez vos agendas, rangez vos tranches de lol et rangez vos trolls velus: cette idée est la plus sérieuse (et la plus farfelue) que j’ai eu depuis des années.

Ignorée, oubliée, laissée pour compte…nous avons oubliés que la Démocratie était le pouvoir du peuple, il est maintenant tant d’agir.

L’idée est folle, j’en conviens…mais (et loin de moi la prétention de l’être) entre la folie et le génie…la frontière est parfois légère.

Impératif :

Le but : nous ne venons pas pour nous en tant que personne mais en tant que citoyens, nous venons en tant que volonté de changer les choses : une volonté n’a pas de visage.

Second point : le fait d’avoir son visage masqué est interdit…toute loi dans ce style repose sur une notion de relativité.

Rendez vous pris, on se retrouve dans un an.

Ne bougez pas…

Ce soir, pas de sujet d’actualité en particulier mais plutôt un constat, enroulé dans un petit coup de gueule.

Vous pouvez déjà classer ce billet dans la catégorie « je vais dire quelques vérités qui ne vont pas vous plaire« .

La Hadopi est passé, de plus en plus de gens s’en plaignent, de plus en plus de gens trouvent cette loi absurde, stupide, dangereuse.

La Loppsi connait le même sort et est autant critiquée maintenant.

La nouvelle carte d’identité numérique commence déjà à connaitre le même sort et les réactions sur la toile et dans la vie réelle me font penser qu’elle va s’en prendre plein la tête.

Autre chose me choque : que la loi HADOPI ait été rejeté, puis revotée, le tout dans la plus grande indifférence…que, sur la Loppsi, si peu de monde se soit indigné…que sur la carte d’identité, ce soit 6 personnes qui aient décidé du sort de 45 millions de personnes.

Par dessus tout, il y a une chose qui me laisse perplexe : l’inaction. Celle de qui? celle du peuple.

L’inaction, c’est pour moi le mal qui nous ronge tous:

– on critique, on se plaint…mais concrètement c’est souvent après coup, lorsqu’il est trop tard, lorsque l’ont doit subir plutôt que d’anticiper.
– on fustige une loi, sans s’être renseigné avant et sans avoir essayé de faire quelque chose.
– on laisse nos politiques décider de tout, même si tout ceci n’est pas / plus représentatif de l’opinion du peuple

Pourquoi?

Par manque d’information, par manque de temps, par manque de motivation ou tout simplement parce qu’on s’en moque complètement, les raisons sont aussi nombreuses que variées.

Cependant, il existe des solutions pour répondre à quelques problèmes :

– pour le manque d’information, si vous restez sur les médias traditionnels, l’information que vous aurez ne sera, au mieux, pas complète, dans le pire des cas, elle sera fausse. Renseignez vous de vous même, allez lire les projets de l’assemblée nationale, vous pourriez être surpris de tout ce qu’il se passe.

– pour le manque de temps, des sites reprennent l’ensemble des informations que vous ne voyez pas dans les médias.

– pour le manque de motivation : afin d’éviter toute prise de tête, moi aussi j’ai mes galères, mes soucis, mon compte a zéro en fin de mois, des soucis pour le travail, le logement, … simplement je crois avoir compris une chose : ce n’est pas en tant qu’individu que ces problèmes se règleront. C’est en tant que conscience collective qu’il faut agir.

– on s’en moque, mais on critique après coup : je serais sans pitié ici, vous vous en moquiez, vous subissez les retombée de ce dont vous vous moquiez, vous l’avez cherché.

Nous sommes à un moment de notre existence ou Internet nous permet de passer de l’autre côté de l’écran : devenir acteur de la démocratie plutôt que de rester spectateur et subir cette dernière, saisissez cette chance.

Je ne le dirais jamais assez, mais si tout ce qui se passe arrive, c’est peut être parce que nous, français, nous l’avons cherché : qui regarde ce que font nos politiques? qui regarde les lois qui sont votées? Franchement? … peu de monde. Nos politiques le savent et s’en donnent à cœur joie jusqu’au prochaines élections ou il faudra faire semblant d’écouter le peuple. Le pire dans ces cas la, c’est la mémoire politique du peuple : « x » est un con le lundi, c’est notre sauveur le mardi…

Je n’entendrais pas l’argument : « que faire, c’est ainsi fait, ils font ce qu’ils veulent, toutes façons d’accord ou pas, ca change rien ». Je ne l’entendrais pas parce que réagir ainsi, c’est consentir à laisser les gens faire ce qu’ils veulent, c’est se dire que toutes façons, la démocratie est ainsi faite…comprenez par là : qui ne dit mot consent.

Vous avez le choix de ne rien changer.

Vous avez aussi le choix de vous organiser, de réagir, réfléchir ensemble sur « que faire », « comment faire ». Vous pouvez vous renseigner et aller plus loin que ce que l’on vous offre dans les médias traditionnels.

Oui, c’est fatiguant. Oui, il faut produire l’effort. Oui, c’est un travail de fond et sur la durée…mais vous seriez étonné de tout ce que l’on ne vous dit pas. Ce n’est qu’ensemble que les choses pourront avancer, individuellement, nous sommes tous…de simple citoyens dans la moins pire des configurations : la démocratie.

… A nous de faire en sorte de changer cela.

 

Bienvenue à Vichy…

Profitez du séjour, le voyage commence à peine.

Avant de vous expliquer pourquoi un titre aussi « trollesque », laissez moi vous compter une petite histoire :

Il était une fois 11 députés. De ces 11 députés, 6 décidèrent un jour de voter une loi : la loi de la protection sur l’identité.

Mais qu’ont-ils voté exactement?

Dans un premier temps, ces 11 députés ont voté la création d’une base de données centrale de 45 millions de personnes via une nouvelle carte nationale d’identité…mais pas n’importe comment (enfin…), en effet, les 11 députés ont rendu obligatoire la collecte de données biométriques (elle était jusqu’alors non obligatoire pour les personnes qui ne voulaient pas de passeport ou qui ne souhaitaient pas donner leurs empreintes digitales.

Cette mesure, saluée par Claude Guéant (connu plus pour ses dérapages trollesques que pour ses sages paroles), s’inscrit dans « une modernité positive, capable à la fois de protéger et de simplifier la vie quotidienne de nos concitoyens« .

Comprenez par la : une puce pour tous les surveiller, pour tous les contrôler et puisqu’elle devient obligatoire, pour tous les forcer à l’avoir…

Attendez, ce n’est pas tout… ce fichier biométrique pourra servir à pas mal de choses, comme relier une empreinte digitale à une identité. Je vous vois venir, oui cela existe déjà, mais dans le cadre de recherche criminelles, on cherche les gens déjà fichés, la c’est l’ensemble de la population qui est fichée d’un coup.

Mr Guéant à d’ailleurs parlé de la reconnaissance faciale également, soulignant qu’elle n’était pas encore au point, il a quand même rajouté que d’ici quelques années, la technologie aura fait des progrès.

Comprenez par la : pourquoi ne pas se servir de la reconnaissance faciale sur l’ensemble de la population?

ATTTENDEZ, c’est toujours pas tout: cette carte nationale d’identité disposera d’une seconde puce, facultative cette fois-ci. Cette dernière permettra de s’identifier en ligne et lors d’achats (grâce à une signature électronique). Cette puce sera gérée par le ministère de l’intérieur, comprenez par la que le ministère pourra, lorsqu’il le souhaitera, observer les habitudes de consommation de ceux qui ont choisis d’avoir cette puce avec eux.

A cela, Mr Guéant à fait une belle réponse de principe :

«il est évidemment hors de question, pour le ministère de l’intérieur, de s’immiscer dans le contenu des échanges commerciaux ou de chercher à en savoir quoi que ce soit. Le ministère de l’intérieur n’interviendra que pour garantir la fiabilité du système, sa sécurité, c’est-à-dire, d’une part, la sécurité des boîtiers électroniques et, d’autre part, la sécurité des transmissions».

Dommage…les paroles n’engagent que ceux qui les écoutent Mr Guéant, c’est à dire vous et 11 députés. La suite? Elle ressemble étrangement à 1984 quand même.

Je vous invite à lire l’excellente analyse de Marc Rees sur le sujet.

Je vous épargnerais le côté « il est impossible d’intercepter les données de cette puce » : la dernière fois qu’un membre du gouvernement à dit cela, c’était Mme Christine Albanel à propos du site de la Hadopi…qui est tombé quelques heures après. Le Chaos Computer Club Berlin (CCCB, groupe de hackers très réputé) pourra aussi vous expliquer que la carte d’identité biométrique du premier ministre allemand à été hackée…. ultra sécurisée, n’est ce pas?

Pour expliquer mon titre, je citerais une loi :

«Obligation de détenir une carte d’identité à partir de seize ans, comportant les empreintes digitales et la photographie, et de déclarer tout changement d’adresse. Institution d’un fichier central de la population et d’un numéro d’identification individuel.»

Cette loi à été crée…le 27 octobre 1940 et à été supprimée lors de la libération. Le Gouvernement vient donc de réinstaurer une loi qui date du régime de Vichy : celle d’un fichage massif de l’ensemble de la population française .

Voila, maintenant j’ai fini, vous pouvez vous en retourner à votre activité du moment…l’air de rien.